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2020-10-27

Aperçu #01

Organiser, lire, refermer, rouvrir, déplacer. Lire.

La section comme alternative au chapitre, l’atelier plutôt que le temple.
Au propriétaire nous opposions l’ouverture, imposons désormais la non-conventionnalité.
Le concept de version dans toute sa nécessité.
Écrire entre les lignes, dans les creux de Git.
Les éditions (numériques) augmentées à la rescousse de la numérisation du monde.
La numérisation du monde est faite de papier.
Nous ne sommes pas seuls à aimer le livre et le numérique.
Constituer une phénoménologie de l’édition ?
Le chemin de la légèreté.
Le lien entre inscrire du texte et manipuler du texte.
Pour une critique de la novlangue numérique.
La potentialité réduite à quelques usages identifiés.
Publier des programmes, programmer des publications.
Esquisser l’atelier : des blocs liés, la pensée tentaculaire.
Des étiquettes superflues.
Le papier à la rescousse.
Un numéro, une version hachée.
Parcourir les jalons.
La semaine n’existait pas encore.
Déclarer l’invisibilité (oxymore).
L’indexation est un choix de refus.
Paré au décollage.
Git serait-il profondément et sombrement littéraire ?
La pensée de la chose est plus grande que la chose.
Une pluralité de visions du monde, une pluralité de systèmes.
La signature sémantique.
L’unité verdoyante, une autre idée de l’obscur.
Trois est plus grand que vingt-neuf.
Les logs sont la fréquence cardiaque des programmes.
Et si le numérique disparaissait, quel serait l’apport pour l’analogique ?
Un schéma XML = une vision du monde
Agnostique informatique : l’adaptation plutôt que la domination.
Des concepts à la douzaine.
Pour réaliser les parcours il faut des chemins, quand bien même sinueux.
Nommer l’absence est-il si différent de mettre sous silence la présence ?
L’auctorialité clignotante.
Envisager un système pour publier des œuvres littéraires.
La face économique de l’édition : des livres à la coupe.
Mono mono mono.
Obfuscation de l’activité de recherche ?
NCALEPW.
Les visions du monde, littéraires, économiques, formalistes.
Le monolithisme, ou la fragilité de ne vouloir dépendre que d’une chose.
Les Software Studies sont les études littéraires du vingt-et-unième siècle.
De la langue et technique littéraire des technologies.
L’autoréflexivité des outils : une résurgence simondienne ?
Quelques outils et plateformes au service d’une renaissance du texte en ligne.
Le bleu aussi est une couleur froide.
Les ressources invisibles.
La mémoire temporaire de nos machines se cache.
Qu’on le veuille ou non Word a changé le game.
Montre moi tes guillemets.
Le cœur de la science tient à un nom et une date entre parenthèses.
Si tant et si peu.
Tout un livre dans quelques centaines de lignes de code.
Les références bibliographiques sont le charbon de la recherche.
Publier dans l’urgence, la page qui se suffit à elle-même.
Le choix technique dans la publication : le geste et sa revendication.
La page papier s’est-elle déjà suffit à elle-même ?
Dévoiler pour mieux chercher.
L’informatique révèle la vraie nature du texte.
Des systèmes de publication agnostiques.
Un paysage de solutions ouvertes, vaste.
Le littéraire résiste-t-il au numérique, par nature ? (Le peut-il ?)
Des tonalités technologiques : le métal, le jaune et le bleu.
CQFC (ce qu’il fallait citer)
Du côté de l’édition numérique.
La permanence du parcours.
Les machines ont-elles un accent ?
Pour une phénoménologie de l’édition à l’ère numérique.
Le code source du papier.
Le papier et l’écran partagent une diversité d’expressions matérielles.
Ramassé dans un seul fichier HTML.
Un espace de lecture dynamique sans compromis.
L’atelier tentaculaire.
La rhétorique au service de personne.
Et l’énonciation éditoriale était aussi auctoriale ?…
Je remédie, tu remédies, il elle remédie, nous remédions.
Se permettre une épaisseur typographique.
À la virgule près.
Les tiroirs de la pensée.
Des petits cailloux administratifs.
Les mêmes propriétés, classées ?
Quelques lignes de code pour faire surgir tous ces livres.
Des livres ouverts à la propagation.
Disparu.
En-dessous.
Les fabriques de publication.
Combien de sous-dépendances ?
Organiser, lire, refermer, rouvrir, déplacer. Lire.
Avis au lecteur perdu (qu’il le reste).
Futilité des petits points et des clignotements.
La relation de complémentarité portée par quelques trouvailles numériques.
Le dynamisme glisse entre les doigts d’une bien belle façon.
Chaîne, système, fabrique, forge.
Là où l’artéfact papier tente l’uncreative writing, le livre web l’accomplit.
Les livres papier ne peuvent pas exister sans nous.
Autosuffisance (et fin) du numérique ?
Outil, instrument, dispositif, machine.
Aux origines des fabriques (en fait, des boucles).
Les techniques numériques permettent de mimer des jeux de reconfiguration.
Imprimer imprimer imprimer.
Fetcher la littérature.
Implémenter la littérature.
Les textes des livres.
La complexité technique nous détourne de notre intention initiale.
Convertir le monde.
Les outils de notre époque.
Convertisseur, révélateur, couteau suisse.
Des instructions balisées transformées en composition graphique.
La forêt de code.
Doc as code.
Les effets de mode des technologies.
Ce qui enrichit contraint également.
Le médium n’est pas réductible à [compléter].
Pour la fin des solutions monolithiques, dépendantes ou propriétaires.
make litterature
Reconfiguration des processus de publication et évolution des pratiques d’écriture et d’édition dans le champ littéraire
Un assemblage de programmes dont l’interface n’est qu’un subterfuge.
Concevoir et maîtriser leur outil de production (littéraire).
Less is more.
La lecture est écriture.
L’écriture comme déclencheur.
L’écriture comme condition d’appréhension de la littérature.
Le fork web de LaTeX est-il si détendu ?
Écriture (numérique) et dépendance.
Plus de novellas sur le web (et non l’inverse).
Orange et bleu.
La structuration comme fondement.
Les lectures les lectures.
La publication synchrone est un mystification technique.
Les conceptualisations binaires écrasent les nuances.
Différentes échelles de modularité.
La rouille des fabriques.
Lecture explosée à recomposer.
La publication modulaire repose sur un trio.
La fabrique comme lieu d’apprentissage, de construction et de transmission.
La pauvreté du traitement de texte, pourtant processus d’écriture.
Un an passé, sept mois d’atelier, cent cinquante commits.
L’atelier est une fabrique ouverte, apprendre autant que produire.
L’attirance de la fabrique monolithique.
Écrire ce que l’on souhaite retenir.
L’idée folle de recenser les fabriques.
Un peu d’encre sur l’écran.
Cette fabrique n’aime pas le vide.
Le texte qui déborde malgré tout.
Y a-t-il des éditeurs·trices qui commitent dans la salle ?
Vers une aridité des programmes.
Le fond est toujours plus lumineux.
Un seul texte qui fait tout.

Première livraison de l’aperçu de mon atelier de thèse, les 150 premiers commits littéraires écrits dans les interstices de l’atelier.